mercredi 31 juillet 2013

mardi 30 juillet 2013

Maurice Washington Farjasse, fils du préfet Denis-Dominique Farjasse



Maurice Washington Farjasse 1860-1905
fils du préfet de l'Aube en 1848 Denis-Dominique Farjasse

Sa première femme Jeanne Passy 1870-1893, fille du prix Nobel de la Paix Frédéric Passy et soeur du professeur Paul Passy, fondateur de la colonie agricole socialiste LIEFRA à Saint-Usage dans l'Aube.
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jeudi 25 juillet 2013

Portrait par Louis POLLAROLO



Portrait du jeune Henri X avant son mariage.
Photographie réalisée par  Louis Joseph Paul POLLAROLO, né en 1871 en Italie qui a épousé le 17 juin 1905 à Troyes, Mathilde Malvina VESSIER, fille de Jean François Octave, ferblantier de père en fils sur Soulaines. Son studio se trouvait 8, rue Paillot-de-Montabert.
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lundi 22 juillet 2013

Le coeur incontournable de Troyes



Nouvelle attraction du Troyes by night.
Oeuvre du couple d'artistes de Payns,  Kayo-Houël : Michèle, plasticienne, et Thierry, sculpteur. Pour concevoir le Cœur de la ville, ils ontconjugué leurs talents.

samedi 20 juillet 2013

Photographie signée V. Frairot Troyes



Photographie d'un groupe d'ouvriers, signée V. Frairot Troyes.

Décor agricole, air de famille(s), postures, détails vestimentaires, complicité apparente, photo sans légende qui laisse le champ à nombres d'interprétation et reste énigmatique.
V. Frairot apparait comme photographe sur plusieurs cartes postales en dehors de l'Aube. Un photographe portant ce nom habitait Saint Nicolas de Port en Meurthe et Moselle.Un autre prénommé Henri habitait à Langres.

Et un collectionneur troyen la rapproche en dépit de l'environnement rural de
l'usine de bonneterie Frairot, puis Frairot et Montperrus,
110 rue Beauregard Troyes, vers 1900
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vendredi 19 juillet 2013

Passerelle du pont de Châlons

 


Passerelle du pont de Châlons au dessus du canal de la Haute Seine.
Avec une correspondance amoureuse très touchante spécialement dédiée à tous ceux qui pensent que c'était bien mieux avant.
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samedi 13 juillet 2013

Lettre du principal du collège de Troyes Bernard Forneron



Le 15 juin 1839, le principal du collège de Troyes, Bernard Forneron s'adresse au maire de Troyes, pour solliciter la titularisation de Joseph Bornibus, faisant office de directeur de l'école primaire supérieure rattachée à son collège. Joseph est l'aîné de la fratrie Bornibus dont l'histoire est relatéedans le livre de Bernard Pharisien "Bornibus le champenois", Némont, 2011

Portrait de Bernard Forneron
par Henri Valton
Musée de Troyes

Biographie de Bernard Forneron (1797-1886)
 extraite du site crdp de Reims

Bernard Forneron constitue un cas intéressant de ces " petits recteurs " du XIXe siècle. 
Né le 12 décembre 1797 à Messigny en Côte-d'Or, il est le fils d'un huissier de juge de paix. Il effectue ses études au collège de Gray et au lycée de Dijon. En octobre 1818, il entre à l'École normale supérieure. Licencié ès lettres à la Sorbonne en 1821, il réussit la même année le concours de l'agrégation, figurant parmi vingt lauréats dont Jules Michelet. Il occupe le poste de régent du collège de Troyes au lendemain de son succès, et celui de censeur du collège royal de Douai en 1830. 
Il devient ensuite principal du collège de Troyes en 1831, proviseur du collège de Douai en 1840 et de celui de Rouen en 1843. Il est nommé inspecteur d'académie de Montpellier en 1847, puis de Reims en 1848, avant d'en devenir le recteur en décembre 1849.
À la suite de l'application de la loi du 15 mars 1850, le recteur Forneron conserve le siège de Reims, par décret du 10 août, mais dans un cadre désormais réduit au seul département de la Marne. C'est à lui que revient le mérite d'avoir donné vie et rendu cette académie " florissante ", aux dires de son successeur. Il y reste jusqu'en 1852, avant d'occuper la même fonction en Seine-inférieure. 
De 1853 à 1865, il dirige à Paris, en tant que proviseur, successivement le lycée Louis-le-Grand puis le lycée impérial Bonaparte (actuel lycée Condorcet). Il prend sa retraite en 1865, à l'âge de 68 ans, et décède en 1886. Administrateur, il est aussi l'auteur de deux ouvrages : un Guide des instituteurs ou principes de pédagogie paru en 1852 et un Petit traité des études classiques élémentaires publié en 1863. 

 Complément généalogique

Bernard Forneron et le peintre Henri Valton étaient beaux-frères, ils avaient épousé deux filles de Léopold Passadore, capitaine en retraite, ancien  commandant de la garde départementale, le premier  a épousé le 17 septembre 1827 à Saint Martin ès vignes Edmée Elisa née à Troyes en  1809, le second  sa soeur Anna  née en 1812 à Troyes, le 8 novembre 1830.
La famille Valton comportera une lignée d'ingénieurs des écoles Centrale, des Mines et Polytechnique.
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jeudi 11 juillet 2013

Famille Jacquin de la bonneterie au chocolat

 
 


cf http://troyes-en-champagne.blogspot.fr/2012/05/famille-jacquin-de-la-bonneterie-la.html


Julien Joseph Jacquin (1802-1855), horloger, ingénieur mécanicien, industriel en bonneterie, militant républicain sur Troyes a  déposé de nombreux  brevets pour les métiers à tisser et quelques uns sur la fabrication des dragées. Sa femme et deux de ses enfants Henry et Anatole ont poursuivi l'exploitation d'une usine de chocolaterie à Paris, 12 rue Pernelle après le décès du père fondateur en 1855. La production de chocolat sera déplacée ensuite à Dammarie les Lys en Seine-et-Marne et gérée par la famille jusqu'au milieu du XXème siècle.

Julien Joseph Jacquin, clock maker, engineer, hosiery industrial was also a chocolate producer. His chocolate factory begins in Paris, moves towards Dammarie lesLys (Seine et marne) and has been ruled by his descendants until the years 1950.

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vendredi 5 juillet 2013

Napoléon-Ambroise Cottet, invité de Canal 32



Hier soir, Napoléon-Ambroise COTTET était l'un des invités de l'émission "Envie de sortir" sur Canal 32. Avec une présentation du livre "Lettres à mon fils" par Jean-Louis HUMBERT,  Président de la SAT et du Club XIXème siècle et la participation de Daniel CHEROUVRIER qui vient d'éditer ce recueil de lettres écrites entre 1854 et 1876 par le républicain Napoléon-Ambroise COTTET, adressées à son fils émigré aux Etats-Unis. Ces lettres conservées par les descendants américains ont été confiées en 1995 à la Bibliothèque de Troyes. Elles ont été retrouvées en 2011 avec l'aide du Centre des études icariennes et de la Western Illinois University qui en avait conservé une copie et des familles GUNDY, SNIDER-PATRICK et SNIDER-EIFERT.
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Ouverture de la Maison du tourisme à Troyes

 


Quelques heures avant l'ouverture du premier jour de la Maison du tourisme à Troyes.
Some hours before the first day of the new "maison du tourisme" in Troyes, 5th July 2013.
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jeudi 4 juillet 2013

Léonie Cottet (1869-), petite-fille de Napoléon-Ambroise Cottet



Léonie Cottet est née en décembre 1869 à Springfield, Illinois, USA fille de Jules Léon Cottet et de sa première femme Irma JONVAUX ( née à Saint Martin ès vignes en 1838, décédée en 1875 à Springfield).
Léonie épouse  le 4 mai 1892 à Springfield, William Ackerman.
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mercredi 3 juillet 2013

Utopistes et exilés du Nouveau Monde. Des Français aux États-Unis de 1848 à la Commune, Vendémiaire, 2013.

Mercredi 3 juillet 2013

Michel Cordillot

publie Utopistes et exilés du Nouveau Monde. Des Français aux États-Unis de 1848 à la Commune, Vendémiaire, 2013.
Michel Cordillot s’est attaché à retracer l’aventure de ces hommes et de ces femmes, utopistes, vaincus de juin 1848, républicains en fuite après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, communards en exil, qui prirent les armes lors de la guerre de Sécession pour en finir avec l’esclavage, puis fondèrent les sections françaises de l’Association internationale des travailleurs.
Michel Cordillot publie Utopiste et exilés du Nouveau Monde. Des Français aux États-Unis de 1848 à la Commune, Vendémiaire, 2013
New York, le dimanche .17 décembre 1871. En plein cœur de Manhattan, des milliers de badauds et de sympathisants se pressent pour voir arriver la procession funèbre organisée en mémoire de trois communards fusillés près de Versailles moins de trois semaines auparavant. En tête du défilé, qui avance précédé d’immenses drapeaux rouges, de nombreux Français sont massés derrière un imposant catafalque. Le succès de la manifestation est spectaculaire puisque l’on parle de 10 000 participants, les journalistes présents sont interloqués, l’opinion publique américaine choquée. Cette manifestation marqua l’apogée d’un mouvement né dès 1848, quand 69 disciples du célèbre auteur du Voyage en Icarie, Étienne Cabet, quittèrent. la France pour le Texas, bientôt suivis par des centaines d’autres communistes icariens désireux de fonder une communauté, idéale. Plus tard arrivèrent les démocrates socialistes chassés de France qui avaient décidé de se construire une nouvelle vie en Amérique, puis les fouriéristes emmenés par Victor Considerant.
Michel Cordillot, est professeur émérite à l’université Paris-VIII. Il a notamment publié Aux origines du socialisme moderne. La première Internationale, la Commune de Paris, l’exil et de nombreuses biographies dans le Maitron.
22€ ISBN 978-2-36358-072-6

Avant-propos 
 
Ce livre représente d’une certaine façon un aboutissement. Il constitue en effet l’ultime étape d’un ambitieux projet collectif visant à sauver de l’oubli l’histoire des exilés et émigrés politiques français partis s’installer aux États-Unis entre 1848 et la Première Guerre mondiale’. Lorsque ce projet vit le jour en 1987, on savait déjà que cette histoire avait en fait connu deux phases bien distinctes. Durant les années 1848-1880, auxquelles ce livre est consacré, le mouvement recruta essentiellement dans les rangs des exilés politiques. Au cours de la seconde phase, depuis 1885 jusqu’au début des années 1920, il s’appuya principalement sur les migrants économiques francophones, pour aboutir à la constitution d’une éphémère Fédération socialiste de langue française adhérente au Parti socialiste américain, qui disparut dans les soubresauts politiques causés par l’éclatement de la Première Guerre mondiale. J’étais toutefois loin de penser alors qu’il allait falloir pratiquement un quart de siècle pour que nos travaux touchent finalement à leur terme. La parution, en 2002, dans la série internationale du « Maitron » (le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, dont la parution, commencée en 1964, se poursuit encore à ce jour), d’un volume incluant mille biographies de militants franco-américains marqua une première étape essentielle’. Un petit livre, rédigé quelques années plus tard à la demande d’un éditeur québécois intrigué par cette histoire totalement inexplorée impliquant des francophones en terre d’Amérique, traita de l’histoire de la seconde phase du mouvement’. Après la publication du présent ouvrage, consacré aux exilés des années 1848-1880, il ne restera plus qu’à procéder à la mise en ligne sur le site maitron.org des quelque 4 500 notices biographiques concernant des militant(e)s repéré(e)s au cours de nos recherches - ce qui nécessitera sans doute encore plusieurs mois de travail -, pour que notre objectif initial soit enfin pleinement atteint. Il pourrait sembler surprenant que le livre traitant des origines et de la première phase de l’histoire du mouvement social francophone états-unien arrive seulement maintenant, alors que le dossier est sur le point de se clore définitivement. Ce sont en partie les circonstances qui en ont décidé ainsi. Mais tout bien considéré, il n’est pas inintéressant que les choses se soient faites dans cet Ordre. On peut en effet penser que l’impact sur la vie politique et sur l’histoire des États-Unis de l’action des exilés, dont il sera question plus loin, fut paradoxalement plus profond à terme, du fait de sa dimension symbolique considérable quand on replace leur action dans son contexte historique, que celui des luttes menées par leurs successeurs, pourtant plus nombreux et plus durablement organisés.