Napoléon-Ambroise Cottet (1802-1880) a publié dans l'Almanach démocratique de l'Aube 1852 un poëme que l'on ferait bien de lire à l'aube d'une année électorale :
"Pour nous mettre à l'abri des maux qu'on nous présage
Et nous guérir des maux acquis.
Le peuple s'il le veut, peut se sauver lui-même
Car la Fraternité est un baume suprême.
Aimons-nous, aidons-nous, nous deviendrons meilleurs.
Mais surtout, mes amis, gardons nous des sauveurs."
Cottet
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