mercredi 31 juillet 2013
Troyes - pont de l'Argentier - sortie d'usine
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Pays/territoire :
Troyes, France
mardi 30 juillet 2013
Maurice Washington Farjasse, fils du préfet Denis-Dominique Farjasse
jeudi 25 juillet 2013
Portrait par Louis POLLAROLO
Portrait du jeune Henri X avant son mariage.
Photographie réalisée par Louis Joseph Paul POLLAROLO, né en 1871 en Italie qui a épousé le 17 juin 1905 à Troyes, Mathilde Malvina VESSIER, fille de Jean François Octave, ferblantier de père en fils sur Soulaines. Son studio se trouvait 8, rue Paillot-de-Montabert.
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Troyes, France
mercredi 24 juillet 2013
Vignes et champagne - Cité du vitrail - Troyes
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Pays/territoire :
Troyes, France
mardi 23 juillet 2013
Le coeur de Troyes en plein jour
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Pays/territoire :
Troyes, France
lundi 22 juillet 2013
Le coeur incontournable de Troyes
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Troyes, France
samedi 20 juillet 2013
Photographie signée V. Frairot Troyes
Photographie d'un groupe d'ouvriers, signée V. Frairot Troyes.
Décor agricole, air de famille(s), postures, détails vestimentaires, complicité apparente, photo sans légende qui laisse le champ à nombres d'interprétation et reste énigmatique.
V. Frairot apparait comme photographe sur plusieurs cartes postales en dehors de l'Aube. Un photographe portant ce nom habitait Saint Nicolas de Port en Meurthe et Moselle.Un autre prénommé Henri habitait à Langres.
Et un collectionneur troyen la rapproche en dépit de l'environnement rural de
l'usine de bonneterie Frairot, puis Frairot et Montperrus,
110 rue Beauregard Troyes, vers 1900
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vendredi 19 juillet 2013
Passerelle du pont de Châlons
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Troyes, France
samedi 13 juillet 2013
Lettre du principal du collège de Troyes Bernard Forneron
Le 15 juin 1839, le principal du collège de Troyes, Bernard Forneron s'adresse au maire de Troyes, pour solliciter la titularisation de Joseph Bornibus, faisant office de directeur de l'école primaire supérieure rattachée à son collège. Joseph est l'aîné de la fratrie Bornibus dont l'histoire est relatéedans le livre de Bernard Pharisien "Bornibus le champenois", Némont, 2011
Portrait de Bernard Forneron
par Henri Valton
Musée de Troyes
extraite du site crdp de Reims
Bernard
Forneron constitue un cas intéressant de ces " petits recteurs "
du XIXe siècle.
Né le 12 décembre 1797 à Messigny
en Côte-d'Or, il est le fils d'un huissier de juge de paix. Il effectue
ses études au collège de Gray et au lycée de Dijon. En octobre
1818, il entre à l'École normale supérieure. Licencié
ès lettres à la Sorbonne en 1821, il réussit la même
année le concours de l'agrégation, figurant parmi vingt lauréats
dont Jules Michelet. Il occupe le poste de régent du collège de
Troyes au lendemain de son succès, et celui de censeur du collège
royal de Douai en 1830.
Il devient ensuite principal du collège de Troyes
en 1831, proviseur du collège de Douai en 1840 et de celui de Rouen en
1843. Il est nommé inspecteur d'académie de Montpellier en 1847,
puis de Reims en 1848, avant d'en devenir le recteur en décembre 1849.
À
la suite de l'application de la loi du 15 mars 1850, le recteur Forneron conserve
le siège de Reims, par décret du 10 août, mais dans un cadre
désormais réduit au seul département de la Marne. C'est à
lui que revient le mérite d'avoir donné vie et rendu cette académie
" florissante ", aux dires de son successeur. Il y reste jusqu'en
1852, avant d'occuper la même fonction en Seine-inférieure.
De 1853
à 1865, il dirige à Paris, en tant que proviseur, successivement
le lycée Louis-le-Grand puis le lycée impérial Bonaparte
(actuel lycée Condorcet). Il prend sa retraite en 1865, à l'âge
de 68 ans, et décède en 1886. Administrateur, il est aussi l'auteur
de deux ouvrages : un Guide des instituteurs ou principes de pédagogie
paru en 1852 et un Petit traité des études classiques élémentaires
publié en 1863.
Complément généalogique
Bernard Forneron et le peintre Henri Valton étaient beaux-frères, ils avaient épousé deux filles de Léopold Passadore, capitaine en retraite, ancien commandant de la garde départementale, le premier a épousé le 17 septembre 1827 à Saint Martin ès vignes Edmée Elisa née à Troyes en 1809, le second sa soeur Anna née en 1812 à Troyes, le 8 novembre 1830.
La famille Valton comportera une lignée d'ingénieurs des écoles Centrale, des Mines et Polytechnique.
Complément généalogique
La famille Valton comportera une lignée d'ingénieurs des écoles Centrale, des Mines et Polytechnique.
Pays/territoire :
Troyes, France
jeudi 11 juillet 2013
Famille Jacquin de la bonneterie au chocolat
cf http://troyes-en-champagne.blogspot.fr/2012/05/famille-jacquin-de-la-bonneterie-la.html
Julien Joseph Jacquin (1802-1855), horloger, ingénieur mécanicien, industriel en bonneterie, militant républicain sur Troyes a déposé de nombreux brevets pour les métiers à tisser et quelques uns sur la fabrication des dragées. Sa femme et deux de ses enfants Henry et Anatole ont poursuivi l'exploitation d'une usine de chocolaterie à Paris, 12 rue Pernelle après le décès du père fondateur en 1855. La production de chocolat sera déplacée ensuite à Dammarie les Lys en Seine-et-Marne et gérée par la famille jusqu'au milieu du XXème siècle.
Julien Joseph Jacquin, clock maker, engineer, hosiery industrial was also a chocolate producer. His chocolate factory begins in Paris, moves towards Dammarie lesLys (Seine et marne) and has been ruled by his descendants until the years 1950.
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Julien Joseph Jacquin,
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Troyes
vendredi 5 juillet 2013
Napoléon-Ambroise Cottet, invité de Canal 32
Hier soir, Napoléon-Ambroise COTTET était l'un des invités de l'émission "Envie de sortir" sur Canal 32. Avec une présentation du livre "Lettres à mon fils" par Jean-Louis HUMBERT, Président de la SAT et du Club XIXème siècle et la participation de Daniel CHEROUVRIER qui vient d'éditer ce recueil de lettres écrites entre 1854 et 1876 par le républicain Napoléon-Ambroise COTTET, adressées à son fils émigré aux Etats-Unis. Ces lettres conservées par les descendants américains ont été confiées en 1995 à la Bibliothèque de Troyes. Elles ont été retrouvées en 2011 avec l'aide du Centre des études icariennes et de la Western Illinois University qui en avait conservé une copie et des familles GUNDY, SNIDER-PATRICK et SNIDER-EIFERT.
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Canal 32,
Editions du 11 rue de la Paix,
Lettres à mon fils,
Napoléon-Ambroise COTTET,
Troyes
Pays/territoire :
Troyes, France
Ouverture de la Maison du tourisme à Troyes
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Troyes
Pays/territoire :
Place Alexandre Israël, 10000 Troyes, France
jeudi 4 juillet 2013
Léonie Cottet (1869-), petite-fille de Napoléon-Ambroise Cottet
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Wian
Pays/territoire :
Springfield, IL, USA
mercredi 3 juillet 2013
Utopistes et exilés du Nouveau Monde. Des Français aux États-Unis de 1848 à la Commune, Vendémiaire, 2013.
Mercredi 3 juillet 2013
Michel Cordillot
publie Utopistes et exilés du Nouveau Monde. Des Français aux États-Unis de 1848 à la Commune, Vendémiaire, 2013.
Michel Cordillot s’est attaché à retracer l’aventure de ces hommes et de ces femmes, utopistes, vaincus de juin 1848, républicains en fuite après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, communards en exil, qui prirent les armes lors de la guerre de Sécession pour en finir avec l’esclavage, puis fondèrent les sections françaises de l’Association internationale des travailleurs.
Michel Cordillot s’est attaché à retracer l’aventure de ces hommes et de ces femmes, utopistes, vaincus de juin 1848, républicains en fuite après le coup d’État de Louis-Napoléon Bonaparte, communards en exil, qui prirent les armes lors de la guerre de Sécession pour en finir avec l’esclavage, puis fondèrent les sections françaises de l’Association internationale des travailleurs.
Michel Cordillot publie Utopiste et exilés du Nouveau Monde. Des Français aux États-Unis de 1848 à la Commune, Vendémiaire, 2013
New York, le dimanche .17 décembre 1871. En plein cœur de Manhattan, des milliers de badauds et de sympathisants se pressent pour voir arriver la procession funèbre organisée en mémoire de trois communards fusillés près de Versailles moins de trois semaines auparavant. En tête du défilé, qui avance précédé d’immenses drapeaux rouges, de nombreux Français sont massés derrière un imposant catafalque. Le succès de la manifestation est spectaculaire puisque l’on parle de 10 000 participants, les journalistes présents sont interloqués, l’opinion publique américaine choquée. Cette manifestation marqua l’apogée d’un mouvement né dès 1848, quand 69 disciples du célèbre auteur du Voyage en Icarie, Étienne Cabet, quittèrent. la France pour le Texas, bientôt suivis par des centaines d’autres communistes icariens désireux de fonder une communauté, idéale. Plus tard arrivèrent les démocrates socialistes chassés de France qui avaient décidé de se construire une nouvelle vie en Amérique, puis les fouriéristes emmenés par Victor Considerant.
Michel Cordillot, est professeur émérite à l’université Paris-VIII. Il a notamment publié Aux origines du socialisme moderne. La première Internationale, la Commune de Paris, l’exil et de nombreuses biographies dans le Maitron.
22€ ISBN 978-2-36358-072-6
New York, le dimanche .17 décembre 1871. En plein cœur de Manhattan, des milliers de badauds et de sympathisants se pressent pour voir arriver la procession funèbre organisée en mémoire de trois communards fusillés près de Versailles moins de trois semaines auparavant. En tête du défilé, qui avance précédé d’immenses drapeaux rouges, de nombreux Français sont massés derrière un imposant catafalque. Le succès de la manifestation est spectaculaire puisque l’on parle de 10 000 participants, les journalistes présents sont interloqués, l’opinion publique américaine choquée. Cette manifestation marqua l’apogée d’un mouvement né dès 1848, quand 69 disciples du célèbre auteur du Voyage en Icarie, Étienne Cabet, quittèrent. la France pour le Texas, bientôt suivis par des centaines d’autres communistes icariens désireux de fonder une communauté, idéale. Plus tard arrivèrent les démocrates socialistes chassés de France qui avaient décidé de se construire une nouvelle vie en Amérique, puis les fouriéristes emmenés par Victor Considerant.
Michel Cordillot, est professeur émérite à l’université Paris-VIII. Il a notamment publié Aux origines du socialisme moderne. La première Internationale, la Commune de Paris, l’exil et de nombreuses biographies dans le Maitron.
22€ ISBN 978-2-36358-072-6
Avant-propos
Ce livre représente d’une certaine façon un
aboutissement. Il constitue en effet l’ultime étape d’un ambitieux
projet collectif visant à sauver de l’oubli l’histoire des exilés et
émigrés politiques français partis s’installer aux États-Unis entre
1848 et la Première Guerre mondiale’. Lorsque ce projet vit le jour en
1987, on savait déjà que cette histoire avait en fait
connu deux phases bien distinctes. Durant les années 1848-1880,
auxquelles ce livre est consacré, le mouvement recruta essentiellement
dans les rangs des exilés politiques. Au cours de la seconde
phase, depuis 1885 jusqu’au début des années 1920, il s’appuya
principalement sur les migrants économiques francophones, pour aboutir à
la constitution d’une éphémère Fédération socialiste de
langue française adhérente au Parti socialiste américain, qui
disparut dans les soubresauts politiques causés par l’éclatement de la
Première Guerre mondiale. J’étais toutefois loin de penser
alors qu’il allait falloir pratiquement un quart de siècle pour que
nos travaux touchent finalement à leur terme. La parution, en 2002, dans
la série internationale du « Maitron » (le
Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français, dont la
parution, commencée en 1964, se poursuit encore à ce jour), d’un volume
incluant mille biographies de militants franco-américains
marqua une première étape essentielle’. Un petit livre, rédigé
quelques années plus tard à la demande d’un éditeur québécois intrigué
par cette histoire totalement inexplorée impliquant des
francophones en terre d’Amérique, traita de l’histoire de la seconde
phase du mouvement’. Après la publication du présent ouvrage, consacré
aux exilés des années 1848-1880, il ne restera plus
qu’à procéder à la mise en ligne sur le site maitron.org des quelque
4 500 notices biographiques concernant des militant(e)s repéré(e)s au
cours de nos recherches - ce qui nécessitera sans
doute encore plusieurs mois de travail -, pour que notre objectif
initial soit enfin pleinement atteint. Il pourrait sembler surprenant
que le livre traitant des origines et de la première
phase de l’histoire du mouvement social francophone états-unien
arrive seulement maintenant, alors que le dossier est sur le point de se
clore définitivement. Ce sont en partie les circonstances
qui en ont décidé ainsi. Mais tout bien considéré, il n’est pas
inintéressant que les choses se soient faites dans cet Ordre. On peut en
effet penser que l’impact sur la vie politique et sur
l’histoire des États-Unis de l’action des exilés, dont il sera
question plus loin, fut paradoxalement plus profond à terme, du fait de
sa dimension symbolique considérable quand on replace leur
action dans son contexte historique, que celui des luttes menées par
leurs successeurs, pourtant plus nombreux et plus durablement
organisés.
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