mardi 30 avril 2013

"Le furet troyen" journal humoristique de Gustave Carré



Gustave Carré, professeur agrégé d'histoire, directeur-gérant du journal humoristique "Le furet troyen" qui parait du 15 septembre 1868 au 3 juillet 1869 puis de juillet à décembre 1872.


Deux figures troyennes, le commissionnaire Nicolas Ninoreille, porteur de journaux, mort à 88 ans 9 mois en 1864 et l'ancien prêtre, crieur de vins Etienne Coché, décédé à 72 ans en 1840.Le dessin de Coché  par  Charles Fichot a été auparavant publié en octobre 1840 dans le journal "La silhouette" d'Etienne Collet.
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lundi 29 avril 2013

La Silhouette - journal littéraire de Troyes septembre 1840



Etienne COLLET 1816-1841 libraire-lithographe- dessinateur distribuant le premier numéro du journal "La silhouette" le 20 septembre 1840. 13 numéros seront publiés de septembre à décembre 1840, les deux journalistes Amédée AUFAUVRE, Jean-François GADAN s'étaient associés avec le libraire Etienne Claire COLLET qui devait mourir quelques mois plus tard.
Les lecteurs pouvaient reconnaître oute le dessinateur juché sur son estrade, Amédée AUFAUVRE tendant la main pour recevoir sa propre caricature et Désiré ARGENCE, en tenue d'avocat.
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lundi 22 avril 2013

Fortifications de Troyes au XVIème siècle

 


Plan publié dans les Mémoires de la Société d'Agriculture, des Sciences, Arts et Belles-Lettres du département de l'Aube
1854 tome 18 page 199
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dimanche 21 avril 2013

Dr Noël-Innocent PATIN 1793-1868

 


Né en 1793 à Billy (Aisne), le Docteur PATIN s'installa à Troyes en 1826, il dispensa un cours gratuit d'hygiène à l'Hôtel de ville de Troyes , et eut comme préparateur Napoléon-Ambroise COTTET. Sur intervention de certains de ses collègues, le cours fut interdit, querelle de médecins ou censure d'un esprit libéral trop proche de Saint-Simon ? Ses cours reprirent en 1832. Membre du conseil d'hygiène créé par le maire de Troyes en 1830, il obtint du préfet sa transformation en un conseil départemental d'hygiène qu'il présida pendant plus de vingt ans. Il contribua à la promotion de l'Enseignement mutuel. Il quitta Troyes dans les années 1850 pour devenir professeur d'anatomie à l'ecole de Médecine de Rouen puis fit partie du corps enseignant de l'Ecole de médecine d'Alger à partir de 1857.  Il fut rejoint par Napoléon-Ambroise COTTET en 1858 lors de sa seconde "transportation" pour motif politique en Algérie.
En 1862, il devint Directeur de l'ecole de médecine d'Alger et en 1867 il obtint l'autorsation de faire subir les examens du doctorat à une jeune femme Jenny RENGGUER. Il décéda à Alger 15 octobre
  1868. Son fils Eugène, né à Troyes  en 1829, participa, à l'expédition du Mexique, comme médecin militaire et décéda de la fièvre jaune à l'hôpital de Tempico en 1863.
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dimanche 14 avril 2013

Henri Claude Robert NAPIAS 1842-1901, médecin républicain

 


autobiographie

Henri Claude Robert NAPIAS, docteur en médecine,, Directeur de l'Assistance publique de Paris,, spécialiste de l'hygiène industrielle et scolaire, auteurs de nombreux ouvrages et projets de loi, est l'un des fils du républicain Claude-Dominique NAPIAS-PIQUET né à Romilly, notaire à Sézanne.
Henri NAPIAS est  né le 7 mars 1842 à Sézanne
En 1852, il accompagne son père, proscrit de l'Empire, à Londres.
En 1862, il est incarcéré pour raison politique à Mazas avec Clémenceau. Il est rédacteur de plusieurs journaux d'étudiants au sein desquels il frréquente Gambetta, Lavisse, Clémenceau...
De 1862 à 1872 il est médecin de la Marine nationale.
En 1872, il épouse à Paris 9ème, Louise Victorine Mathilde BLAISE, professeure, née à ERVY (arrondissement de Troyes).

à suivre

Claude-Dominique NAPIAS-PIQUET et la colonie agricole socialiste de Saint-Just Sauvage (51)
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jeudi 11 avril 2013

Henri Etienne dit Léon FREMINET, avocat, député de l'Aube 1843-1895




Biographie extraite du dictionnaire des parlementaires français de 1789 à 1889 (Adolphe Robert et Gaston Cougny)

Député de 1876 à 1881, né à Troyes (Aube) le 7 novembre 1843, il fit à Paris ses études de droit, fut reçu docteur, et s'inscrivit au barreau. Secrétaire de Mc Durier, il quitta Paris vers la fin de l'Empire pour aller habiter sa ville natale, où plusieurs causes importantes mirent son nom en relief.

La révolution du 4 Septembre le fit secrétaire général de la préfecture de l'Aube. M. Fréminet prit part à la campagne de l'Est dans les rangs des mobilisés de ce département, devint conseiller municipal de Troyes et conseiller général de l'Aube, et se présenta aux élections législatives du 20 février 1876, avec une profession de foi où il s'exprimait ainsi :

« Je ne suis pas un converti à la République, sa cause est la mienne depuis que j'ai commencé à raisonner. Dans une Assemblée, ma place serait parmi les républicains de principe. J'appartiens au jeune parti républicain, qui sait que rien ne se fonde par la violence ou la surprise, qui veut, ayant de réaliser une idée, avoir conquis pour elle l'adhésion des intelligences, et qui, pour les conquêtes successives, n'emploie que la persuasion, la science et la justice. »

M. Fréminet, élu député de l'arrondissement de Troyes par 12 613 voix (20 462 votants, 28 864 inscrits), contre 2 983 voix à M. Baltet, et 2 244 à M. de Colmont. siégea dans la majorité républicaine, parmi les modérés.

Il se prononça :
- contre l'amnistie pleine et entière ;
- pour la loi nouvelle sur la collation des grades par l'Etat ;
- pour l'ordre du jour du 4 mai 1877 sur les menées ultramontaines.

Il fut au nombre des 363 adversaires du gouvernement du Seize-Mai, et obtint sa réélection comme député de Troyes, le 14 octobre 1877, par 17 312 voix (25 452 votants, 28 279 inscrits), contre 7 942 voix à M. Droche, candidat officiel, conservateur-monarchiste.

À la Chambre nouvelle, il continua de siéger à gauche, se prononça contre le cabinet Rochebouët, pour le ministère Dufaure, pour l'invalidation de l'élection Blanqui, pour l'article 7 de la loi sur l'enseignement supérieur, etc., et s'associa aux principaux actes de la politique opportuniste.

Il ne se représenta point aux élections de 1881 ( qui virent l'élection de Stanislas BALTET) , et se fit inscrire au barreau de Paris.

Léon FREMINET fut le défenseur du Cercle Populaire et de Stanislas BALTET au cours du procès de 1873.

 

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dimanche 7 avril 2013

Le champagne de l'Aube à l'honneur en Suède

 


Deux manifestations en l'honneur du champagne Gaston CHEQ en Suède le vendredi 5 avril à LUND et le samedi 6 avril à SIMRISHAMN avec Cécile TAPPREST, Ludovic LéVEILLé et Anna CHEROUVRIER-HANSSON.
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samedi 6 avril 2013

Reliure et dorure à la Maison de l'Outil

 
 


Démonstration de reliure et dorure par M. Christian PLOTON à la Maison de l'Outil et de la Pensée ouvrière  à Troyes le samedi 6 avril 2013.

Plus d'information sur son site
www.reliureploton.fr
 
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